43% alc./vol.
André 88%
Difficile de ne pas comparer ce Ardbeg avec le 1977, qui tombe dans les mêmes années, mais cette édition de cette mythique distillerie m’a déçu tristement. Très doux, trop doux… la tourbe de Ardbeg est endormis, c’est presque soporifique, avec des accents terreux auquel s’ajoute le sel et les algues. C’est terminé ? Presque… La bouche, on a l’impression de la manquer tellement c’est une transition entre le nez et la finale, un passage obligé sur ces mêmes saveurs et arômes déjà présagées, et la finale… trop passagère et lente. Difficile de savoir si c’est le fait d’attente trop grandes ou simplement un whisky en dessous des standards habituels de la distillerie.