43% alc./vol.
L’histoire d’Aberlour commence réellement en 1879 bien que le village ait déjà possédé une distillerie auparavant. En 1879 donc, James Fleming, fils de fermier et négociant en grain, décida de se bâtir sa propre distillerie ; amené par son activité céréalière à traiter avec des distillateurs, il la fit construire intelligemment près d’une source « St Drostan’s well », réservant ainsi pour lui seul cette eau de qualité. En 1898, la distillerie fut victime comme tant d’autres d’un incendie qui nécessita une reconstruction importante des bâtiments. Agrandie en 1945 lorsqu’elle devint la propriété de Campbell distillers, elle fait désormais partie du groupe Pernod-Ricard.
André 74%
Un des premiers scotches que j’ai goûté et même avec le temps en me demandant ce que j’avais peut-être pas déniché les fois précédentes, c’est toujours un des pires scotch à mon avis. /// 2eme dégustation: Net en bouche. Vieux toffee brûlé, mais gustativement plat. Une fois qu’il a respiré 30 minutes; muffin aux bananes et noix. Meilleur que l’ancienne version mais je n’arrives toujours pas à lui donner une note en haut de 80%. Le Aberlour 10 ans est définitivement l’adolescent boutonneux de la famille. Idéal pour écouter Virginie avec matante. Tout est une question de goût et celui-là n’est simplement pas des miens.
RV 76%
Après le merveilleux 16 ans et le stellaire Abunad’h, il nous fallait revenir au 10e. Malheureusement, ce ne fut que pour constater qu’il avait toujours aussi mauvais goût que par le passé. L’image typique d’un whisky trop jeune, d’un malt trop près du grain métallique et des levures défraîchie. Et après 4 bouteilles étalées sur une dizaine d’années, il ne s’agit pas de mauvaise chance, le 10 ans est tout simplement un mauvais single malt; les proprios devrait vraiment reconsidérer la bouteille!
Patrick 79%
Goût de vieille église construite en 1300 et de pierre humide. Est-ce que la bouteille était encore bonne? 2e dégustation: meilleur au nez avec goût de caramel et de vieux fruits murs et légère vanille.