Bowmore Vault Edition First Release

51.5% alc./vol.

André 88%
Beau nez d’une odeur inhabituellement posée pour un Bowmore; poires, oranges, agrumes. J’adore la quiétude du nez qui a su garder sa touche maritime, avec sa fine touche saline et quelques effluves de fumée de tourbe portée par la brise de l’océan. La bouche semble au départ un peu trop diluée, mais les saveurs sont intenses malgré le canevas un peu diaphane au niveau de la texture. Fruits tropicaux qui me rappellent certains Laphroaig évalués récemment, tourbe d’une intensité surprenante s’accompagnant des saveurs du nez. Poires fraiches, bananes, oranges et agrumes, petits fruits sauvages, un filin de sel marin nageant dans la vanille et le miel. La finale est dans l’ensemble un trop volatile mis à part la tourbe et le sel qui s’attardent un peu plus longtemps en fond de bouche. Gros plus pour l’agencement des saveurs et le caractère de la distillerie qui est respecté. Gros points en moins pour la texture un peu fade privée de texture huileuse & goulue et du price tag trop élevé.

Patrick 88%
Un superbe whisky complexe et riche. Au jeu des comparaisons, il est aussi bon qu’un Tempest, même si on vous en demande le double du prix. J’aime, mais il est trop cher pour mon budget. Nez : Agrumes, sel, miel, chêne et fumé. Bouche : Fumée huileuse, sel, orange, mûres, bois carbonisé et touche de cassonade subtile. Finale : Longue et persistante. Salée et marquée par le bois brûlé.

Martin 89%
Nez: Assez domestiqué comme nez pour Bowmore, surtout à ce taux d’alcool. Légère tourbe, pierre lavée à l’eau de mer. Quelques fruits tropicaux, mais pas bien plus. Bouche: C’est ici qu’on explose. Tourbe et miel, fleurs et vanille. Les épices , dont le poivre, nous emportent vers la finale sans trop nous brusquer, étonnant. Finale: Belle longueur, belle chaleur. Fruits tropicaux, sel de mer et tourbe iodée prennent leur juste place. Équilibre: J’aime bien cette direction qui n’est pas sans rappeler la gamme Tempest, sans le age statement bien sûr.

Bowmore Black Rock

40% alc./vol.

André 83%
Un classique Bowmore qui rappelle les éditions vintages de voilà 10 ans. Nez très généreux; plein bol de cosses d’oranges, de cerises noires, raisins secs, chocolat noir, douce fumée de tourbe avec un fond d’air maritime et salin. L’alcool s’évaporant, on peut rapidement constater l’équilibre entre le ratio sherry cask et bourbon cask. La texture est grasse, les saveurs phénoliques accentuées par le canevas de saveurs du bourbon cask ponctué de notes de vanille opulentes, de saveurs salines (légèrement médicinales) et maritimes stabilisé par de visqueuses notes de caramel fumé. La finale est courte mais la cadence bien maintenue par le poivré et les épices qui s’opposent aux notes d’orange et de sherry. Sans être le whisky qui vous jettera par terre, ce whisky est honnête côté qualité-prix. Les saveurs sont relativement variées mais l’histoire qu’elles racontent est prévisible sans être désagréable. Si vous avez la chance de mettre la main sur cette bouteille, exclusivité en duty-free, vous ne serez pas déçu de votre achat pour le montant déboursé (pour 1 litre de surcroit). J’aurais préféré encore une fois le voir bonifié d’un 43-46% d’alcool au lieu du 40%, ce qu’aurait pu soutenir le sucré-caramélisé très présent dans cet opus.

Patrick 90%
L’une des choses que j’adore de Bowmore est que même leur scotchs d’entrée de gamme sont excellents ! Nez : Sel de mer, raisin et xérès, cacao, orange brûlée et touche de chêne. Bouche : Superbe mélange de sel et de xérès au premier plan, puis de la fumée de tourbe, du cassis, de la cannelle et de belles notes de bois épicé. Finale : Fumée et sel, avec un peu de cassis.

Martin 85%
Nez: Le mariage rêvé de la tourbe et du xérès. Raisins, marmelade d’orange, fumée, cacao, pruneaux et chêne. Bouche: Sirop de fruits, raisins, épices, bois et xérès. Légère fumée de tourbe gracieuse. Finale: Un peu plus courte que je ne l’aurais souhaité. Pourtant toutes les notes savoureuses du style répondent à l’appel. Équilibre: J’aime bien. Un excellent exemple de ce genre de whisky. Quoique s’il est positionné comme un produit un peu plus haut-de-gamme, on serait tant qu’à moi en droit de s’attendre à un taux d’alcool légèrement supérieur.

Bowmore Gold Reef

43% alc./vol.

André 82.5%
Approche maritime et influence par le bourbon cask. Nez de fruits exotiques, les oranges, les poires et la pêche juteuse, la banane nappée de vanille, une touche de fumée de tourbe et une pincé de sel marin. Simple et efficace. En bouche, l’ananas découpée, la banane et les poires, super frais et festif en bouche malgré sa texture diluée décevante. L’intensité de la tourbe semble décupler en bouche et l’ensemble de saveurs fruitées laissent beaucoup de place à la fois à la tourbe et au sel de mer. La finale est tourbée et maritime, une poignée de noix et de vanille crémeuse, bien fruitée aux fruits tropicaux, salade de fruits, mais avec une vivacité qui manque de punch et de texture. On saisit bien l’essence de la distillerie qui est bien présenté avec l’éventail de saveurs, peut-être un peu trop masquées par la douceur du bourbon cask. Ceci étant dit, ce whisky offre un rapport qualité-prix honnête et une approche sans trop de brusquerie aux ‘’non-initiés’’ de la distillerie. Je me rabattrai donc sur les éditions Tempest, qui, étant du même acabit, offrent une qualité supérieure et un taux d’alcool décoiffant que peux faire tolérer le bourbon cask.

Patrick 86%
Intense, savoureux et d’une belle complexité. Pourrait être un peu mieux au niveau de la balance, mais ça demeure tout de même très bon. Nez : Noix de coco, vanille, cendre et quelques agrumes. Bouche : Fumée de tourbe, poivre, cassonade, bois brûlé, mangues, sel de mer et une touche de miel. Finale : D’une belle longueur, avec du poivre, du bois brûlé et du sel.

Martin 84.5%
Nez: Tourbe, citron et orange teintés du vent maritime de la distillerie. Vanille et bois. Bouche: Fruits tropicaux, miel et vanille florale. Un peu épicé et tourbé aussi, bien sûr. Finale: Un peu terreuse, elle demeure assez longue et agréable sur la force de ses épices, notamment le poivre blanc. Équilibre: Assez facile d’approche au niveau du prix et du goût, mais ce ne sont pas tous les néophytes qui vont faire dix aéroports pour le dénicher.

Douglas Laing The Epicurean

46.2% alc./vol.
Blended malt des Lowlands

André 78%
Un whisky vert… Herbeux et céréalé, menthe verte aussi, miel, très typique dans le style Lowlands. Bouche; herbe verte fraichement coupée, pommes vertes, raisins verts, poires. La texture est bien contrôlée, beaucoup d’épices dont le poivre noir broyé et de gingembre qui rendent le whisky puissant et laissent supposer un taux d’alcool bien supérieur. Le rendu végétal et légèrement citronné rappelle la distillerie Bladnoch. La finale est épicée, poivrée et un peu sèche. Avouons que l’échantillon fera grandement l’affaire plutôt que la bouteille de 750ml…

Patrick 86%
Un surprenant whisky, savoureux et qui saura satisfaire les amateurs de complexité dans leur dram ! Nez : Parfum léger typique d’un whisky des Lowlands : Agrumes, herbes et sucre. Bouche : Belle arrivée en bouche épicée et intense, beaucoup plus savoureuse que le nez pouvait le laisser présager. Le tout est complété par de beaux fruits et un peu d’herbe. Finale : D’une belle longueur, épicée et herbeuse.

Martin 82.5%
Nez: Orge à peine plus fumée que grillée. Fleurs blanches et lilas. Bananes et crème anglaise, meringue et fruits tropicaux. Bouche: Légerement minéral. Sucre à glacer, fleurs, herbe et épices. L’alcool de grain goûte un peu plus ici, sans toutefois être maladroit et/ou déplacé. Son taux d’alcool au-dessus de la normale aide bien des facettes à s’épanouir. Finale: Bois et épices avec une petite touche astringente qui fait un tout petit peu patate ici. Équilibre: Solide blend des Lowlands, qui torche bien des single malts de la même région.

Lagavulin 18 ans Fèis Ìle 2016

49.5% alc./vol.

André 87%
Tourbe verdâtre, eucalyptus, chlorophylle, pelure d’oranges, sel de mer, notes médicinales à la Laphroaig. Rapidement comme ça, je le trouve plutôt rectiligne sur les saveurs associées au bourbon cask. La bouche est très salée et camphrée, bonbons au menthol, texture pauvre et presque diluée, même l’amalgame de saveurs est relativement limité. Finale d’agrumes et d’oranges, sel de mer, tourbe et herbe verte, camphre, saveurs médicinales avec une sensation de roche calcaire et de saveurs minérales en toute finale de bouche et de rétro-olfaction. Perd des points pour les saveurs limitées et sa texture un peu trop diluée.

Patrick 96%
Un scotch extraordinaire, complexe et superbement balancé. Le genre de whisky dont on ne saurait jamais avoir assez. Nez : Wow ! Superbe fumée fruitée, avec des notes florales et mielleuses. Aussi quelques touches herbeuses discrètes. Enfin, les fruits sucrés se démarquent avec superbe de leur lit de tourbe fumée. Bouche : Fumée intense, intense au point qu’elle surprend un peu comparativement à ce que laissait entrevoir le parfum. Puis, le tout évolue vers des épices, des cendres, du chêne et finalement de superbes fruits mûrs et subtilement sucrés. Finale : Longue et savoureuse, fruitée, sucrée, épicée et fumée.

Deanston 30 ans Cask Strength

46.7%
US Exclusive

André 87%
Nez de fruits tirés du xérès, gâteau au fruits, pâte de fruits, raisins secs, un peu tannique et rustique, cosses d’oranges, chocolat amer, épices. Tout en douceur et en tendresse. En prenant bien notre temps, le nez s’arrondit et les épices s’évaporent lentement et laissent la place aux saveurs de cerises et de framboises, ce que confirme la bouche avec assurance; fruits rouges, notes de chocolat plus importantes maintenant, mais un léger sulfureux en fond de bouche. Quinze minutes plus tard, savoureuses notes de caramel et de toffee, qui s’entremêle de notes de cerises. Un genre de mélange entre une barre de chocolat Caramilk et de Cherry Blossom. La finale est douce au niveau texture mais un peu plus épicée en général, un peu tannique et la petite touche sulfureuse s’est évaporée. Beaucoup de fruits tirés de l’affinage de sherry et une belle texture soyeuse et crémeuse, héritage du long vieillissement en fût de bourbon.

Patrick 89%
Un très bon whisky, simple et efficace, et qui saura plaire à tous. J’aime ! Nez : Superbe parfum de vin fruité, sucré et vanillé, le tout avec une note de vanille subtile. Appétissant. Bouche : Miam miam ! Un superbe vin sucré, fruité et chaleureux, avec du chocolat au lait et du caramel. Savoureux et délicieux. Finale : D’une belle longueur, fruitée et marquée par le chocolat et le caramel.

Hazelburn 10 ans Rundlets & Kilderkins 2003

50.1% alc./vol.

André 83.5%
Le nez est simple et très axé sur le grain. Donc, grains de céréales (Céréales Honey Comb), miel chaud, quelques épices disparates, petit accent terreux et ensemble passablement influencé par le bois. C’est difficile à expliquer mais le nez est à la fois sucré et pointu et défini par des saveurs et arômes très différents mais qui se marient fort bien, genre texture crémeuse avec accents épicés, brin de scie du bois tout juste coupé. En bouche, au départ très feutré avec une montée d’épices et de poivre, de terre mouillée, légère impression de new wood, raisins verts, vanille et miel, pommes Ginger Gold, une touche de sherry. Un peu déstabilisant comme livraison. Finale sur les grains de céréales et les épices, fruits. Les notes ressemblant à du sherry sont beaucoup plus robustes en finale de bouche. Un whisky funcky et un peu tricky, difficile à cerner. On a l’impression que les saveurs sont un peu disparates et l’idée générale un peu diffuse.

Patrick 82%
Un bon whisky, mais avec un nez un peu bizarre. Nez : Parfum de bois franc fraichement coupé, avec une note de panier de fruits mélangés. Bouche : Belle texture huileuse, avec des saveurs boisées et sucrées, de subtiles épices et un peu de vanille. Finale : D’une belle longueur, et rafraichissant.

Glenmorangie Bacalta Private Edition

46% alc./vol.
Ce whisky tire ainsi son nom du gaélique écossais « cuit au four » en référence à la méthode originale mise en place pour son affinage. Il a été élaboré à partir de Glenmorangie vieilli dans d’anciens fûts de Bourbon puis transféré dans des fûts spécialement sélectionnés qui ont séché au soleil et ayant contenu du Malmsey (Malvoisie), l’un des vins de Madère les plus doux. Les fûts de Malmsey ont été spécialement créés à cet effet à partir de chêne américain séchées à l’air, puis fortement grillés. Ils ont ensuite été remplis de vin Malvoisie et chauffés par les rayons du soleil pendant deux ans, pour les adapter aux spécifications du Master blender Dr Bill Lumsden de la distillerie Glenmorangie. Les fûts ont été ensuite vidés, transportés à Tain en Écosse dans les Highlands, puis remplis de whisky Glenmorangie rigoureusement sélectionné pour offrir des caractéristiques exceptionnelles à ce Single Malt.

André 91%
Nez très liquoreux, le terme liqueur est approprié. Attrayant au nez et bien volupté; poires, pêches, oranges, vanille crémeuse, abricots desséchés, miel. La bouche est sirupeuse et grasse, taux de sucre élevé ce qui calme les ardeurs du taux d’alcool et des épices. De petits fruits rouges parcellent maintenant la bouche et s’ajoutent aux saveurs détectées au nez. Les notes d’oranges sortent un peu du lot, le mélange de poires et de pêches en purée est rafraichissant et très texturé, presque mielleuse. La finale est longue et persistante, veloutée et liquoreuse, oscillant entre les notes de fruits à chair et les fruits rouges, le sucre et les épices. Une superbe palette aromatique et une présentation au-dessus de la moyenne, nous en attendions pas moins de la part de Lumsden et de Glenmorangie. Un whisky dessert pour les papilles et pour l’esprit.

Patrick 80%
Je comprends que certains adorent, mais c’est vraiment trop sucré pour moi et pas du tout dans ma « palette de saveurs ». Le fait d’avoir pris un peu de retard pour écrire cette évaluation me permet de vous dire que ça fait deux ans que j’ai ouvert ma bouteille, et elle est à peine entamée, car ce n’est pas un whisky qui m’apporte grand plaisir. Nez : Parfum extrêmement sucré et fruité. Le Doc Lumsden semble avoir la dent de plus en plus sucrée. Bouche : Très sucré et chaleureux, avec une bonne dose de nanannes. Finale : Longue, chaleureuse, pleine de fruits sucrés.

Martin 92%
Nez: Céréale classique de Glenmorangie. Caramel brûlé, légère mélasse, raisins secs, dattes et bois. Miel et zeste d’orange. Bouche: Sucre d’orge, raisins, vanille crémeuse, miel sirupeux. Dattes, chêne et épices. Fruits rouges. Savoureux. Finale: Chaude, longue et enivrante. Nounours au Prosecco de chez Squish. Poivre blanc et planche de bois. Équilibre: Une grande édition privée qui fait honneur au Companta de 2014.

Glenmorangie The Tarlogan Limited Edition

43% alc./vol.

André 86.5%
Le nez est très fruité, à la fois sucré et épicé; melon d’eau, abricots, nectarines séchées, cannelle, vanille, bois de chêne séché, noix de coco, poires. La bouche est très soutenue, les épices omniprésentes, mélange de noix de coco et de poires, nectarines & abricots et en finale de bouche, tranches d’ananas et petite acidité tenant presque du citron. Les épices donnent même l’impression d’être poivrées en fond de bouche. Même si les saveurs sont attrayantes, la recette prend un peu au fond et le mélange semble manquer d’homogénéité, c’est difficile à expliquer mais il manque un petit ‘’(Marie) a un petit je ne sais quoi’’. Finale moyennement longue, épicée et presque citrique. Compte tenu du prix d’environ 130$, une petite déception ici…

Patrick 89%
Un autre Glenmorangie qui est un chef d’œuvre de complexité et de balance. C’est très bon, ça se boit bien, et c’est du genre à plaire à tous (mis à part quelques frustrés qui ne jurent que par la tourbe, bien entendu). Nez : Chêne, vanille, caramel, noix de coco et fruits exotiques. Bouche : Fruits exotiques, chêne et épices, notes terreuses, caramel, vanille, touche de gingembre, fleurs et chocolat blanc. Finale : D’une belle longueur et épicée.

Martin 87.5%
Nez: Orge salée, caramel et herbe. Agrumes, pêche et nectarine. Raisin blanc et chêne. Bouche: Orge et miel, épices et caramel. Cacao, noix et chêne. Belles notes de xérès sucré et de frangipane. Finale: Assez longue, épicée sur des notes de butterscotch, de miel et de raisin blanc. Omniprésence du chêne. Équilibre: Un autre succès au niveau des éditions spéciales de Glenmorangie, mais quand même à des années-lumière des classiques tel le Companta de 2014.

Glenmorangie “A Midwinter Night’s Dram”

43% alc./vol.

André 87%
Nez à la texture veloutée mais très épicé. Gâteau aux fruits et oranges, raisins séchés, les pommes. Généreusement sucrée, la bouche est texturée et rappelle presque certains vins liquoreux, puis ça goûte réellement le chocolat en forme d’œuf fourré aux oranges (dont je ne me rappelle plus le nom), une touche de fruits secs et de sherry, cannelle, gingembre, auxquelles s’ajouteront progressivement les saveurs de pommes et de poires. Saveurs appétissantes, texture goulue et ronde parsemée d’étincelles d’épices. La finale est épicée, la longueur en bouche étonne, la texture est définitivement un des points forts de ce whisky. Malheureusement, l’éventail de saveurs ne surprendra pas le dégustateur car à partir du nez, la majorité des saveurs s’étirent simplement jusqu’en finale. Un excellent dram, festif et goulu qui en plus ne videra pas votre portefeuille en passant à la caisse (70$), ce qui vous laissera plus de sous pour acheter vos cadeaux de Noël!

Patrick 90%
Même s’il est recommandé de boire ce scotch l’hiver, je crois qu’il peut être excellent en toutes saisons ! Peut être est-ce parce que les plus froids hivers écossais ressemblent à nos printemps ? Nez : Oranges sucrées, caramel, noix, quelques notes vineuses. Alléchant ! Bouche : Miam miam ! Fruits, chocolat, épices, noix, bonbons au beurre et une touche subtile d’orange. Finale : Longue et savoureuse, marquée par l’orange, les épices du bois et une touche chocolatée des plus subtile.

Martin 91%
Nez: D’une douceur incroyable, raisins juteux, caramel, pruneaux, dattes et bois gorgé de xérès. Baies suédoises et orge classique. Bouche: Fruits rouges à la pelletée. Vanille, miel et raisins. Amandes, caramel, chêne et épices. Finale: Longue, mais douce et liquoreuse, tel l’écrin sur lequel on apporterait au prince Charles son suppositoire. Équilibre: Exquis de par sa douceur. Porte fièrement son sobriquet.