Glen Garioch 16 ans – The Renaissance 2nd Chapter

51.4% alc./vol.

André 77.5%
Très dénaturé, on a peine à deviner le whisky sous l’étoffe fruitée très intense. Avalanche de raisins, Kool Aid aux raisins en poudre, pruneaux séchés, petits fruits séchés, dattes, chocolat noir. La bouche est plus épurée, texture un peu floue et malhabile, plus crémeuse que le laissait supposer le nez, plus épicée aussi avec les pointes de gingembre de bonne force. Les fruits secs et le raisin prédominent et se drapent d’écharpe d’épices un peu frivoles, quelques cosses d’oranges au passage avec de savoureuses notes de toffee, de céréales maltées et de crème brûlée. La finale de bouche livre les secrets du taux d’alcool qui demeurait très discret jusqu’à cette étape de la dégustation. Outre le fait que ce whisky verse dans l’excès de saveurs qui le dénaturent, ce whisky offre une mauvaise pléiade de saveurs dont l’agencement laisse à désirer. Pour un Glen Garioch c’est le dépaysement total, définitivement du jamais vu. Ça bouscule comme présentation. Ce whisky trouvera probablement un public cible mais à mon avis les omniprésentes saveurs de raisins et de fruits cachent toutes les nuances qu’aurait pu présenter les saveurs.

Patrick 83%
Un bon whisky, d’un style très différent de ce que je suis habitué de voir venant de Glen Garioch. La balance laisse toutefois un peu à désirer. On dirait qu’on a utilisé un fût qui n’était pas au top dans le mix… Le Glen Garioch que j’ai le moins aimé depuis qu’on a revampé la marque. Nez : Parfum très fruité, avec un mélange de fruits frais et de fruit mûrs, avec une touche de caramel réchauffé et quelques fleurs. Bouche : Très chaleureux, fruits très mûrs, caramel, miel, bruyère, abricots, céréales et quelques notes de bois brûlé. Finale : Longue, marquée par les fruits mûrs et un sucre très chaleureux.

Old Particular Glenrothes 16 ans

56.4% alc./vol.
Distillé en octobre 1997, embouteillé en août 2014 depuis le fût #DL104587 Refill Hogshead, 277 bouteilles.

André 85%
Superbe texture en bouche, liquide mais concentré, huileux à souhait, débutant par une vague massive de fruits rouges, les raisins secs, les bananes, suivi pas d’étonnantes épices et de poivre. La bouche est bien soutenue, fruitée à souhait, raisins secs, mélange de bananes en purée et pomme poire, melon au miel, se stabilisant dans des draps de sherry bien campés. La finale est peu off-key mais l’ensemble de saveurs est agréable et se marie bien ensemble. Un Glenrothes agréable mais qui démontre bien l’ambivalence que peut démontrer cette distillerie dans ses embouteillages. J’aimes les saveurs et arômes variés, la texture amoureuse et la quiétude des saveurs fruitées (malgré le léger off-key de la finale).

Patrick 82%
Un whisky qui s’annonce bien au nez et à l’arrivée en bouche, mais dont l’expérience se gâte rapidement. Dommage, c’était bien parti. Je ne comprends pas l’idée de mettre en vente un tes single cask (et ce, à un prix si élevé !) pour une qualité qui est somme toute, bien moyenne. Définitivement, il y a des acheteurs à la SAQ qui ne font pas leur job quand on pense à tous les produits extraordinaires qu’ils ne considèrent pas assez bien pour les québécois. Nez : Savoureux et riche parfum, avec du caramel, des raisins secs, de petits fruits rouges et une bonne dose de vanille. Bouche : Très fruité, avec de beaux raisins secs, du caramel, une bonne dose d’épices, un peu de pommes vertes et du sucre d’orge. Finale : D’une belle longueur, épicée, avec des notes de cassonade… Et un je-ne sais-quoi de mal balancé. Dommage.

Old Particular Dalmore 17 ans

55.5% alc./vol.
Distillé en mai 1997, embouteillé en août 2014 depuis le fût #DL10247 Refill Hogshead, 237 bouteilles.

André 83%
Hors norme pour un Dalmore; tarte au citron, meringue flambée, toffee, vanille, petits fruits sauvages discrets. La bouche est soutenue, bien alcoolisée. Encore ces saveurs de citron et meringue, beaucoup d’influences du fût de chêne, la vanille est veloutée et crémeuse, le caramel agréable, ce qui cache bien les fortes épices. La finale est portée par les épices et les saveurs du bois de chêne, lit de saveurs citronnées et baffe d’alcool. Ce whisky offre une belle alternative au sherry opulent de habituellement préconisé par Richard Paterson, ce whisky riche à l’extrême, qui ne plait pas à tous. On a droit ici à une version plus posée et réfléchie, moins tape-à-l’œil qui revient peut-être même aux racines de la distillerie.

Patrick 80%
Je ne suis pas un fan de Dalmore (à cause de leur style « vendeur de parfums cheaps ») et ce whisky me conforte dans cette voie. Je ne comprends pas qu’on ait fait un single cask avec ce whisky, on aurait plutôt gagner à le noyer dans un blend quelconque. Nez : Agrumes, fudge, vanille et sciures de bois. Bouche : Belles épices boisés, citron et une touche de poivre. Finale : Belle finale sèche et épicée, avec une bonne dose d’agrumes.

Ardbeg 1815

50.1% alc./vol.
Embouteillé pour le 200eme anniversaire de la distillerie, ce whisky est le fruit de whiskys distillées en 1974 et 1975 et ayant vieillis pour une période de 33 ans avec une période de mariage supplémentaire de 8 ans en contenant de verre. Le distillat de 1974 a vieilli en bourbon barrel et celui de 1975 en sherry cask. Une édition TRÈS limitée de 400 bouteilles, vendues 5500$ pièce.

André 95.5%
Difficile de ne pas se laisser emporter par l’excitation et l’émotion. Le nez est complet et très soutenue; mélange de fruits rouges, les cerises noires, le cuir, chocolat noir, sel de mer, tourbe soutenue et médicinale. L’intensité des saveurs est étonnante mais la délicatesse du rendu est désarmant. Après plus de 20 minutes dans le verre, les notes de sherry ont redoublé d’ardeur et la tourbe gonflé en intensité. Les deux se complètent mutuellement et le sherry prend des atours de prunes et de raisins séchés, la tourbe est médicinale et maritime mais très posée même si campée sur ses positions. J’ai l’impression que les nuances de tourbes diffèrent pratiquement à chaque lapées supplémentaires… elle présente maintenant des saveurs terreuses et de café torréfié, de chocolat noir amer, les cerises rappellent les barres Cherry Blossom. La finale est soyeuse et distinguée, mariage équilibré de tourbe, café noir, chocolat noir amer, iode, sherry, prunes, raisins secs. Un whisky unique pour un événement historique, sensations et souvenirs de haute voltige, les sens sont tous conquis.

Patrick 96%
L’un des meilleurs whiskys que je n’aie jamais goûté. Malheureusement, l’échantillon que j’avais était trop petit pour le jeu des comparaisons à savoir où il se situait exactement dans mon « top 5 ». Nez : Oh boy! Le parfum le plus agressif que je n’aie jamais senti chez Ardbeg. Créosote, goudron, sel, charbon, asphalte, pétrole, bref une incroyable mixture chimique rendue appétissante par une subtile touche fruitée. J’en bave!! Le parfum me rappelle en fait les Laphroaig 15 ans du début des années 2000. Bouche : Semblable au parfum, mais adouci agréablement par un savoureux caramel et une note vineuse qui s’étire savoureusement. Finale : Longue et fantastique, s’étire sur les notes d’asphalte, de sel de mer et de vin.

Caol Ila 30 ans 1983 Special Release 2014

55.1% alc./vol.
Distillé en 1983 et vieilli en American & European Refill oak casks. Édition limitée de 7638 bouteilles.

André 92.5%
Melon au miel, ananas, bananes, camphre très léger, tourbe médicinale, fruits tropicaux, sel marin, sorbet au limoncello nappé de vanille tout juste sortie du frigo. Un whisky qui rappelle grandement ses origines et les éléments de sa fabrication. La bouche est intense, les saveurs exquises, l’équilibre des éléments est parfait; petits fruits sauvages, cuir mouillé et terre noire après un orage d’été, tourbe phénolique et camphrée, sel de mer, fruits tropicaux, melon, citron. La finale est une avalanche de tourbe et de saveurs maritimes, de fruits tropicaux, de phénol, camphre, d’ananas. Étonnant de pouvoir jumeler toutes ses saveurs disparates avec cohésion. Autant les saveurs prises seules trouvent leur place mais l’agencement global une fois que l’on prend nos distances est étonnant d’exactitude. C’est comme regarder un patchwork de près et de loin. De près, on apprécie les détails et le raffinement de la sélection des éléments, de loin, on est surpris du mariage des éléments singuliers et de la cohésion générale. Le chaos en devient presque organisé et le savoir-faire y trouve tout son sens.

Highland Park 15 ans Fire

45.2% alc./vol.
Fruit d’une maturation exclusive en port cask, édition de 28,000 bouteilles.

André 84%
La version sexy du HP Ice, on est dans la chaleur des arômes ici et non dans la froideur dépouillée du bourbon cask du Highland Park Ice. En ce sens, l’allusion des deux noms est parfaitement réussie. Mais ces 2 opus sont des versions tout aussi atypiques l’une de l’autre de l’habituel Highland Park tel qu’on le connait. Le nez est très goulu, soyeux et sexy, très rond et duveteux, les cerises fraiches, les prunes séchées, le chocolat noir, fruits rouges, sensation presque liquoreuse, étonnante… L’apport du port cask est notoire avec cette livraison de chocolat noir et de fruits rouges peut-être un peu trop forte d’ailleurs car on a l’impression de perdre en nuances et les saveurs se retrouvent pratiquement masquées par cet avalanche fruitée. La texture est hyper texturée, cela rappelle la confiture de framboise nuancé par quelques grains de poivre noir broyés et de cannelle moulue. Ce que ce whisky gagne en texture, il le perd en variété de saveurs. La finale est très douce, apaisante, fruitée avec une fine touche de fumée et de poivre. Pour l’expérience différente, un gros yes. De gros points pour la texture hallucinante, de gros points en moins pour la diversité des arômes et saveurs et le prix.

Patrick 80%
Ouch! Tellement sous les standards habituels d’Highland Park. Un whisky bien ordinaire, sans grand éclat. À acheter comme bibelot, pas pour boire. (Goûté à l’aveugle en comparaison avec le Magnus – d’une valeur de 50$!, celui-ci s’est révélé supérieur en tous points au Fire!) Nez : Chocolat, cerise, un peu de bois… Plutôt léger. Bouche : Épices du bois brûlé, cerises, caramel réchauffé. Très chaleureux, mais pas très savoureux. Finale : Un peu courte, un peu boisée.

Macallan 25 ans Anniversary Malt 1975-2000

43% alc./vol.

André 89%
Nez riche, très riche, abondant de fruits séchés, de chocolat noir, de xérès goulu, raisins sces, prunes séchées, gâteau aux fruits. Un travail de nuances plutôt que de contrastes. Le nez est à la fois rond et affirmé, très campé niveau saveurs. En bouche, le whisky est franc et épicé, malgré les saveurs de fruits séchés sucrés. Pâte de fruits, oranges, fruits séchés, gâteau aux fruits nappés du sauce au chocolat noir et de purée de prunes. Puissante montée des épices en finale de bouche appuyée par une astringence poussiéreuse confirmant l’âge vénérable du whisky. Finale sur la cannelle et le gingembre, le vieux xérès poussiéreux, avec une fine touche de tourbe terreuse. Un superbe whisky, aux saveurs peut-être un peu trop rectiligne aux niveau de la palette de saveurs mais on a, en contrepartie, visé l’exactitude de l’équilibre.

Patrick 89%
Un whisky distillé l’année de ma naissance, je n’ai pas bu ça souvent ! N’empêche que je suis plutôt déçu. Le whisky est très bon, certes, mais pas exceptionnel. C’est toujours le même problème : On voulait faire ici un whisky « tape à l’œil », alors on n’a pas hésité à le diluer autant que possible (n’oubliez pas que dans certains pays, le minimum légal de dilution est de 43%). Et, compte tenu de la quantité d’eau qu’on y a ajouté, peut-on vraiment penser qu’on n’y a pas ajouté aussi un peu de caramel pour ajuster la couleur selon les attentes ? Bref, si vous êtes le genre d’amateur à fréquenter ce site web régulièrement, il ne s’agit pas d’un produit pour vous. Pour les autres, go ! Vous impressionnerez ainsi la galerie, et vous nous laisserez les vrais bons whiskys. Nez : Parfum riche et chaleureux, marqué par le xérès, le chocolat, les oranges et les fruits séchés. Bouche : Très épicé, très boisé, très chocolaté, avec aussi un chaleureux caramel, de belles épices, une note de cannelle et de gingembre, des oranges, de fruits mûrs, une touche de fumée subtile et bien d’autres choses tant il est complexe. L’ensemble me fait penser à un vieux rhum traditionnel. Finale : Longue, chocolatée et boisée.

AnCnoc Blas

54% alc./vol.

André 82.5%
Un méchant blast… pas de marde, mais plutôt d’alcool. Nez de céréales et de noix, la pomme et une touche de sherry fruité, miel et vanille, très influencé par le fût de chêne. Un apport plus important de sherry aurait arrondi beaucoup plus ce nez un peu vif. La bouche est singulière; poivrée, tarte au citron, alcoolisée, bois vert, céréales mouillées, notes vertes genre herbeuse. Ça tire un peu partout et dans toutes les directions ce whisky… La finale est épicée et poivrée, belles notes d’ananas malgré la texture astringente et l’amalgame de saveurs qui rappelle celles goutées précédemment. Embouteillage avec un ambivalence de saveurs, un peu trop dominé par le fût.

Patrick 88%
Riche et complexe mais aussi original ce qui fait qu’il ne devrait pas plaire à tous. Pour ceux qui cherchent quelque chose de différent. Nez : Parfum très complexe et surprenant, avec une touche de tourbe, des noix, des pommes, un xérès subtil, du miel et du chêne. Bcoueh : Arrivée massive de fumée poivrée, avec des agrumes, du bois vert et une tonne de gazon fraichement coupé. Finale : D’une belle longueur, marquée par du gazon brûlé.

Bowmore 10 ans Inspired by the Devil’s Casks Series

46% alc./vol.
Fruit d’un mélange de fût de sherry Oloroso et de Red Wine Casks distribué exclusivement dans les boutiques hors-taxes.

André 86.5%
Inspiré par… c’est un peu comme les groupes hommage. Ça fait la job mais ça ne sera jamais comme voir le vrai band en show pis on espère que le cover charge est correct aussi. Évidemment impossible de passer à côté de la comparaison avec les éditions régulières Devil’s Cask qui, dans mon cas, ne m’ont pas impressionné (pas déplu mais pas impressionné aussi). Le nez représente bien le mélange de fûts utilisés; très fruité du style de sherry Oloroso goulu et épicé avec un fond de pierre ponce poreuse un peu bizarre, des galets de plage nappés de sherry Oloroso, chocolat noir, oranges, sel de mer, fruits rouges, raisins secs, canneberges. La première impression en bouche laissera le dégustateur avisé un peu dubitatif avec une impression de ‘’juste bof’’ malgré l’équilibre notoire et le taux d’alcool de 46%. Le whisky semble un peu dilué à la première gorgée mais se bonifie à chacune des lapées supplémentaires. Ce qui impressionne, c’est cette sensation de galets sur lequel le sel de mer aurait séché au soleil, les prunes et le sherry puissant, avec une finale d’oranges, de chocolat noir et quelques épices. La finale est bien longue malgré sa douceur, beaucoup de fruits rouges tirés du sherry cask qui s’accompagnent de cette sensation poreuse de poussière de pierre et d’épices. Pour les 100$ demandés, pour un litre, un whisky honnête et bien correct. Pour être franc, je suis d’avis que cette expression est peut-être la version ‘’grand-public’’ du Devils’s cask régulier. De quoi satisfaire les hardcore fans pour le rapport qualité-prix mais définitivement une expression destiné aux amateurs de whisky cherchant de la nouveauté représentative mais adoucie par le wine cask… mais j’en achèterais définitivement une bouteille pareil!

Patrick 94%
Wow, un Devil’s Cask light! Enfin, light, mais pas trop. Juste assez pour ne pas se sentir coupable d’en prendre un verre de plus. J’adore. Aaaaah, si seulement ça pouvait devenir un produit régulier à un prix tout autant régulier !!! Nez : Vin brûlé et fruité, nectarines, prunes, épices et cassonade. Bouche : Beaux fruits riches et épicés, tonne de sel ainsi que fumée enveloppante. Finale : D’une belle longueur et intense. Fruitée, chocolatée et épicée.

Martin 88.5%
Nez: Tout de suite le chêne poussiéreux gorgé de xérès nous acueille. Fruits rouges, orange sanguine, caramel épais, toffee, dattes, le tout enveloppé d’une volute de fumée de tourbe d’Islay. Bouche: Caramel et raisins, bois de chêne, épices astringentes du xérès. Sel de mer et chocolat noir. Superbe. Finale: Épicée et terreuse à souhait, longue et langoureuse, on dirait qu’elle dépasse son degré d’alcool. Équilibre: André a beau dire que les bands hommage c’est pas pareil, il y en a qui sont solides. Dans ce cas-ci, les yeux bandés je croirais goûter à une nouvelle batch du vrai Devil’s Casks.

Bowmore 9 ans Sherry Cask Matured

40% alc./vol.

André 81.5%
Envolée d’oranges et de sherry, encore cette même sensation de galet chauffé sur la plage ou sensation de cire de senteur de fruits, raisins secs, chocolat noir et bruine gorgée de sel de mer. On s’aperçoit rapidement que la dilution un peu trop généreuse a malheureusement enlevé le mordant à ce whisky. Les fruits dominent la bouche, le sherry puissant aussi, mélangé de poivre et de légère tourbe maritime et saline. Il est aussi facile de confondre les notes de chocolat noir avec la tourbe un peu terreuse. Avec le temps, plantureuses notes de caramel qui se marient agréablement au sherry et aux raisins séchés. Dommage que la texture soit si éphémère en bouche. La finale est moyenne en longueur, poivrée et épicée, finement tourbée et très fruités. Tous les ingrédients de la recette sont là mais le mélange ne semble pas montrer d’homogénéité. Je pointe le taux d’alcool de 40% qui affecte la texture générale. Heureusement on aura quand même réussi à garder l’adn de la distillerie. Un Bowmore grand public, pour le rendu général et surtout le prix hyper abordable de 65$.

Patrick 91%
Presque parfait, mais perd quelques points au niveau de la texture en bouche, probablement à cause d’une trop grande dilution. Nez : Riche xérès fruité et salé, chocolat, raisin et fumée de tourbe. Wow, tout ce que j’aime dans Bowmore semble y être. Bouche : Riche et profond, salé, fruité, fumé, tourbé, le tout avec du chocolat et peu de bois brûlé. Finale : D’une longueur moyenne, avec du chocolat, du sel et beaux fruits mûrs.

Martin 86.5%
Nez: Xérès en puissance, supplantant presque la tourbe maritime de Bowmore. Orange et raisin, vanille et caramel, épices et chêne, dans cet ordre. Bouche: Caramel, raisins, bois, légère tourbe de retour ici. On reconnaît enfin la signature de la distillerie. Air salin. Finale: Longue et chaude, fort surprenant pour son âge. Belles épices avec chêne, tourbe, raisins secs, toffee et agrumes. Équilibre: Wow, juste 9 ans! Pas encore tout-à-fait à point, mais on comprend d’où vient le 15 ans Darkest. Plus haut taux d’alcool svp!