100 Pipers 8 ans

40% alc./vol.
Produit par Chivas Brothers depuis 1949, le nom vient des 100 pipers qui auraient précédé le héros de légende Bonnie Prince Charlie sur le champ de bataille. Ce serait un blend de 25 à 30 whiskys différents.

RV 81.5%
Grain sucré avec un peu de blé bien mûr. Le fumé sort en début de bouche pour ensuite être suivi par des feuilles brulées. Agréable sans rien fracasser, un bon blend mais sans plus.

Patrick 78%
Nez typique de whisky de grain (blé ?), avec un léger fruité rappelant des abricots séchés. Très bien au niveau du palais, fruité et céréales. Bien balancé, finale un peu vineuse. Bon scotch de préparation de la bouche, idéal pour initier une soirée de dégustation.

Chivas 13 ans Extra Aged – Oloroso Finish

40% alc./vol.

André 79%
Très axé sur les fruits secs, les raisins de Corinthe, framboises, cerises et poires auquel s’ajoute un peu de chêne toasted. La bouche est épurée et un peu simpliste. Pommes caramel, poires, cerises et passablement d’épices et d’influences du bois. À la limite tannique et pâteux sur les fruits séchés. Finale ponctuée d’une touche de fumée; oranges, fruits secs et une touche de sherry épicé.

Chivas Century of Malts

40% alc./vol.
Ce vatted est constitué d’un mélange de 100 single malts Écossais(aucun whisky de grain), dont des distilleries fermées et en dormance. Le tout est le résultat de la toute première expérience du genre. Il a été lancé par Chivas Brothers et est maintenant devenu introuvable très rapidement.

André 92%
Le meilleur vatted que j’ai eu à goûter à ce jour. Une expérience en soi de part la rareté et surtout le résultat en bouche. Très visqueux, enrobant, balancé avec une finesse et une régularité rarement vue. Très fruité et boisé, vanille noix. D’avoir à orchestrer 100 single malts simultanément est un tour se force en soi. Une symbiose parfaitement dirigée ou toute les composantes de celui-ci ont trouvé leur place comme dans un grand orchestre. Il ne manque que Pavarotti que vous pourrez imiter une fois dégusté tellement vous apprécierez. Heureusement j’ai eu la chance de mettre la main sur une bouteille avant qu’elle devienne une pièce de collection inestimable. Acheté à New-York en 2003.

Chivas Regal 12 ans

40% alc./vol.
Ce célèbre Scotch Whisky comprend dans son assemblage des single malts en provenance de plusieurs distilleries, notamment Strathisla, Longmorn, Glen Keith, Benriach, Braeval etc… Parmi les multiples whiskies qui composent Chivas Regal 12 ans, figure Strathisla, un joyau du Speyside issu de la plus vieille distillerie encore en activité.

André 77%
Un des premiers scotchs que j’ai goûté. Offre un nez évoluant sur les fruits de la passion, la gomme balloune Bazooka rose et le melon d’eau. Très fruité et doux; approchable. En bouche, eee…c’est…plat ?!? Une mini vague de pêches et d’oranges peut-être et c’est tout. Je me suis demandé le pourquoi de la notoriété allouée à ce produit et j’ai lu la critique de Murray (car je m’engageais vers une critique destructrice mais que j’avais un doute si minime soit-il) et je dois dire que j’aborde entièrement dans son sens (ce n’est pas toujours le cas). Bien correct pour agrémenter une soirée, mais pas celle que tu ramènes à la maison pour bai**r ou pour marier.

RV 80%
Un beau standard d’étalonnage, la mesure sur laquelle je juge les autres blends mais ne fracasse rien. Petit fruité d’oranges sucrées, mais toutefois assez mélangé, avec la menthe du Strathisla. L’orange se poursuit sous le palais, cette fois-ci fumée, avec un peu de noix, avec une longueur adéquate pour l’aftertaste malgré un goût qui n’est pas des plus palpitant.

Patrick 82%
Léger et légèrement fumé… En bouche, huileux, fumé, phénol, assez riche. Pomme au caramel. Finale peu intense, mais relativement longue.

Martin 71%
On dit que le Chivas aurait été le whisky préféré de Frank Sinatra et de Tom Waits. Ont-ils du goût? C’est le moment de s’en assurer. Nez: La couleur d’un ambre léger le rend très alléchant. Au nez il est boisé, vanillé. Ça m’évoque la pomme de tire d’Expo Québec derrière un voile d’épices. Il finit par s’ouvrir sur une touche de décapant à saveur de mûres. Chaotique mais étrangement tentant. Bouche: Tout de suite lorsqu’il me tombe sur la langue il me remémore avec violence ces paroles de Lyne la pas fine: “C’est pas que c’est pas bon… C’est juste dénué de saveur. J’vais me faire un sandwich à la place”. Je le tourne et le retourne en bouche quelques secondes pour enfin trouver quelque chose. Petits fruits, chêne sucré et savonneux, rien de grandiose. Tombe un peu à plat, surtout comparé au nez. Finale: Menthe sucrée, chêne grillé. Excessivement succincte et je ne m’en plains pas. Équilibre: Chute vertigineuse. Le nez m’a fait oublier tout préjugé que j’aurais pu avoir, mais la dure réalité m’a giflé lors de l’arrivée en bouche. En plus avec sa brève finale, je comprends pourquoi ils en ont jeté 6000 gallons dans les égoûts la semaine dernière. Une chance qu’ils produisent d’autres expressions plus agées qui sont saluées par la critique, tout n’est pas perdu. Mais aujourd’hui pour 20$ de moins je recommande à la place un blend canadien de qualité supérieure au service de Sa Majesté, Crown Royal bien entendu.

Chivas Regal 18 ans

40% alc./vol.
Il a obtenu l’excellente note de 9/10 de Whisky Magazine ! La richesse des saveurs de Chivas Regal est le fruit du mariage par Colin Scott, le maître assembleur, d’une sélection des meilleurs whiskies de malt et de grain d’Ecosse.Ce véritable artiste, à la manière d’un nez qui marie les essences pour donner naissance au parfum, assemble les différents whiskies pour réaliser l’accord parfait. Chivas Regal 18 ans d’âge a reçu en 2005 la médaille d’or dans la catégorie Blend Deluxe 18 ans d’âge, dans le cadre de l’International Wine & Spirits Competition.

André 79%
Très riche et velouté au nez. Soyeux et posé. Chocolat noir amer suivi d’une légère fumée. Chocolats After Eight. Finale en guimauve en forme de cône avec du sucre rouge dessus à saveur de fraises et de framboises.

Patrick
La toute première bouteille de whisky que j’ai eu en ma possession!!! Nez riche et délicat, fruité et très légèrement épicé. Très délicat et raffiné au goût. Tout comme une superbe bourgeoise au sourire facile, mais dont les conversations tournent exclusivement autour de la météo et qui semble toujours habillée en pyjama et qui s’en accommode très bien. Bref, une belle bouteille à mettre sur une tablette pour impressionner les gens de passage, mais qui ne saura épater ceux qui s’y arrêteront vraiment.

Martin 84.5%
Nez: Cuir, herbe, malt et légère tourbe. Touche de pelure d’orange et nuage de crème. Ma foi appétissant. Bouche: Sucre blanc, miel, herbe, touche de tourbe. Les épices sont plaisantes, même si la texture laisse à désirer. Finale: Pointe de bois et de poivre timide. Raisins et orange, tourbe et malt. Assez l’fun. Équilibre: Un bon p’tit dram pour prendre sul’ coin du bar. 18 ans ça parait bien aussi.

RV 81%
Fruité du 12 mais un peu plus fancy, et plus herbeux. Les prunes sortent à force de reposer dans le verre, mais la bouche est beaucoup moins variée que le nez et la finale qui a davantage de texture. On voit qu’elle est plus travaillée, est légèrement meilleure, mais on reste assis bien calme sans se pitcher dans le sapin de Noël.

Chivas Regal 21 ans Royal Salute

40% alc./vol.

André 87%
Panier de fruits bien garni, relevé par des notes de vanille et de chocolat. Très soyeux et velvety au nez. Raisins secs. Bouche extra douce, orangée où les céréales sont très présentes et aident à procurer un feeling aux accents de rye Canadien. Finale plus relevée, cannelle et bonbons durs et secs.

Patrick 88%
Un très bon blend, très complexe et dont la balance est maîtrisée avec brio. Très bon, la qualité des whiskys utilisés pour le créer nous donne presque l’impression qu’il n’a pas été dilué. Bravo! Nez : Raisins secs, crème, grains, planche de bois, vanille et chocolat… Rien ne domine, tout est en balance. Bouche : Chocolat épicé, oranges, notes fruitées et caramel. Finale : D’une belle longueur, s’étire plus longtemps en bouche que l’intensité des saveurs pouvait le laisser présager.

Martin 84%
Doré et ambré digne de son âge par rapport à son degré d’alcool. Nez: Fraises et vanille, bois et orge. Plutôt affirmé pour un 40% d’alcool. Attribuons cela à son âge. Fruits et épices. Bouche: Fraises et encore réglisse noire. Bois de chêne, gingembre et herbe. Très fruité, crème fouettée. Par contre sa texture est beaucoup trop diluée et n’offre aucune ligne directrice. Finale: Plus ou moins longue, mais trop simple. Chêne, épices et fruits des champs. Équilibre: Avec son emballage cossu et sa réputation, on comprend pourquoi cet embouteillage est populaire. Si seulement les gens savaient à quel point il se fait de meilleurs trucs sur le marché!

RV 88%
Une belle profondeur qui ne devient pas trop mélangeant comme trop de blends. Crème, beure et fond de grain au nez, avec une bouche de prune et de melon, assez fruitée. En finale, on s’étire sur le grain tout en demeurant en équilibre. Difficile à passer par dessus un prix aussi onéreux pour un blend, mais bien compensé par un whisky qui se boit et s’analyse aussi bien qu’un single malt.

Chivas Regal 25 ans

40% alc./vol.
Chivas Regal 25 ans est de retour après 99 années d’absence … Le nouveau Chivas Regal 25 ans rend hommage à la toute première version du Blend Chivas Regal, également un “25 Year Old” whisky, qui a été expédié depuis Aberdeen, en Écosse, à New York en 1909 pour satisfaire les palais sophistiqués de la haute société américaine. Il devint rapidement la coqueluche des Américains et s’affiche désormais telle une icône mondiale. Lancé en grande pompe fin 2007 à New York, c’est une œuvre majeure reconnue comme telle par son créateur, le célèbre maître distillateur Colin Scott, qui a décrit ce whisky comme “sa plus grande réalisation personnelle”.

André 86%
Pêches, pâte d’amandes, mousse de sphaigne pour empoter les plantes, lait au chocolat. Finale légèrement fumée (cigare) et cosses d’oranges trempées dans le chocolat. S’apaise trop rapidement en bouche, mais agréablement doux. Si le côté menthe du Strathisla s’affirmait haut et fort dans l’édition 12 ans, le 25 ans démontre plus que les prunes et les fruits du Longmorn (et les Aberlour) tiennent la route plus fermement dans les éditions plus âgées.

RV 87%
Nez très volubile avec de l’orange boisé et de la confiture de fraise sans pectine. Au goût ce sont les prunes du Longmorn 16 qui font surface en compagnie de fumée. Beaucoup plus chocolaté que les autres, il est excellent même s’il manque un peu de finale, et qu’il est au même prix que 3 bouteilles de Lagavulin 16…

Patrick 85%
Orange et noix au nez. Au goût, chocolat noir, boisé brûlé, touche orange. En finale, un chocolat épicé prends énormément de place, laissant toutefois une très légère touche orangée se pointer le bout du nez. Agréable en autant qu’on a pas à régler la note…

Chivas Regal Minuzara • Édition 2023

40% alc./vol.
Fort du succès de Chivas Regal Mizunara au Japon, Chivas Brothers lance aujourd’hui son produit à grande échelle. Lors de son introduction en 2013, Chivas Regal Mizunara marque une étape unique dans l’élaboration des whiskies, étant le premier scotch whisky fini pour partie en fûts de chêne Mizunara, un bois japonais, extrêmement rare que l’on trouve dans la légendaire forêt de Nikko. C’est à l’occasion d’un voyage que Colin Scott, impressionné par les traditions et la culture whisky des Japonais, décide de rendre hommage au pays du Soleil Levant. Au cœur de ce blended whisky, les single malts Strathisla et Longmorn.

André 78%
Nez plutôt neutre côté aromatique; vanille, miel, poires et abricots, le tout appuyé de quelques timides épices. La bouche est douce côté saveurs mais très ordinaire côté texture. Oranges, abricots, poires nappées de crème à saveur de saveur de vanille et d’une touche de miel. Les céréales séchées sont passablement présentes également. Après quelques gorgées, des notes de chêne épicé apparaissent. Finale passablement courte, vanillée, remplie d’amandes séchées. C’est ça qui est ça… Rien pour aider mon amour de Chivas.

Chivas Regal Mizunara

40% alc./vol.
Fort du succès de Chivas Regal Mizunara au Japon, Chivas Brothers lance aujourd’hui son produit à grande échelle. Lors de son introduction en 2013, Chivas Regal Mizunara marque une étape unique dans l’élaboration des whiskies, étant le premier scotch whisky fini pour partie en fûts de chêne Mizunara, un bois japonais, extrêmement rare que l’on trouve dans la légendaire forêt de Nikko. C’est à l’occasion d’un voyage que Colin Scott, impressionné par les traditions et la culture whisky des Japonais, décide de rendre hommage au pays du Soleil Levant. Au cœur de ce blended whisky, les single malts Strathisla et Longmorn.

André 83%
Beaucoup d’oranges au nez, les poires baignant dans leur jus, notes de miel aussi, belles notes bien rondes de caramel aussi. Surprend en bouche, je m’attendais à un whisky beaucoup plus épars et diffus, mais les saveurs sont bien définies et savoureuses; raisins secs, cerises, oranges, poires, fruits tropicaux, miel et beaucoup de vanille. Oui le taux d’alcool est au plus bas, mais aide grandement à la pleine intégration des saveurs. Finale simple et très courte offrant une touche de cannelle et boisée intéressante, le tout attendri par le fût de Mizunara malgré la rétro-olfaction épicée et poivrée. Un très bon whisky de semaine.

Patrick 79%
J’aime de plus en plus les blends, et les whiskys vieillis en fûts de Mizunara, compte du coût de ce type de vieillissement, sont presque toujours exceptionnels. Mes attentes étaient donc élevées. Et je me retrouve ici avec un whisky sans relief, sans punch et surtout, sans intérêt. Un achat que je regrette, de grâce, ne faites pas la même erreur. Nez : Parfum trèèès léger, avec du sucre subtil, du bois frais, de la vanille et des fruits exotiques. Bouche : Du bois frais, des fruits exotiques, quelques épices et des amandes. Finale : Plutôt courte, présentant un mélange intéressant de sucre et d’épices.

Chivas Regal Royal Salute Hundred Cask Selection

40% alc./vol.

RV 85.5%
Cent fois la douceur? Très doux, même pour un blend, le fruit domine le nez avec le bleuet et les mûres qui laisse la plus grande impression olfactive. Rien pour déranger, autant la bouche que la finale se révèle tranquillement, presque nonchallament, et malgré son origine épars, ça ne tire pas nécessairement n’importe. Ultimement très doux, ca reste toutefois un verre où l’honneur de goûter 100 barils à la fois est plus grand que le plaisir des papilles.