Glenfarclas 21 ans

43% alc./vol.

André 85%
Abondamment fruité avec toujours cette grappe de raisins frais au nez, le sherry, les pommes et une insolente touche de fumée. J’aime la simplicité complexe des Glenfarclas, ce côté fruits frais estival, le sherry pétillant. Il ne faut pas se laisser aller au seul fait de son arrivée en bouche fluide et épurée car la livraison de fruits est abondante en bouche, le chocolat noir en addition chevauchant cette belle vague d’alcool étonnamment relevée d’ailleurs. Finale sur les fruits, jus de raisins et les grains d’orge. Longueur plus qu’appréciable surtout pour des saveurs si fraiches et légères.

Patrick 87%
Un très bon whisky, qui gagnerait à être embouteillé à un taux un peu supérieur pour lui permettre de montrer ses vraies qualités. Nez : Raisins mûrs, chêne et épices très subtiles. Bouche : De belles saveurs sucrées et fruités où le raisin domine, le tout enrobé de chocolat et de caramel. La sensation en bouche fait penser à des céréales pétillantes. Finale : D’une longueur moyenne et chaleureuse.

Martin 84.5%
Nez: Le sherry cask discret est au rendez-vous. Raisins secs, vin, toffee et pelure d’orange. Touche de noix et de cacao, de fleurs et de petits fruits rouges. Malt grillé et bois sec pour arrondir le tout. Bouche: Miel et cuir, belles saveurs sucrées et à peine fumées, mais la texture laisse à désirer. Un peu de fumée, d’épices et de bois pour finir. Finale: Longue et chaude, bien garnie des saveurs exprimées précédemment. Équilibre: Habituellement on aime bien que l’âge d’un whisky ait adouci son parcours de saveurs fortes, mais ici on y est allé un peu fort. Peut-être qu’en embouteillant à 46% on aurait pu sauver les meubles.

RV 83%
Vente en vrac. Très présent olfactivement, rempli d’odeurs connues et conventionnelles. quoiqu’exacerbées d’une touche verte. Moite en bouche, le malt reste suspendu au-dessus de la langue avant d’y pénétrer lentement tout en la piquant. Ce whisky se conclut encore une fois de manière conventionnelle avec du Dalmore et du Glendronach, avec un caramel trop brûlé qui semble davantage appuyer la couleur que le goût. Le nez est bien; la sensation sur la langue est bien aussi; mais ça ne reste qu’un whisky bien.

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