Bulleit 95 Rye Small Batch

45% alc./vol.

André 74%
Dès qu’il est versé dans le verre; chips au pickles et aneth… En respirant, il change très rapidement pour se stabiliser et se rapprocher de ce que devrait être un rye whisky. Les céréales, les arômes de fruits et d’épices, principalement la cannelle et les sucres très importants. En bouche, il est sec comme de la craie, bien épicé aussi, une touche de menthol, mais n’affiche pas grande distinction et est très peu évolutif. Les céréales de seigle prédominent en finale, jumelées aux épices qui aident celle-ci à s’étirer plus longtemps, ce qui n’est pas nécessairement une bonne chose.

Patrick 78%
Tellement sucré et fruité qu’il m’écœure un peu. Définitivement pas dans mes goûts. Nez : Parfum sucré et épicé, avec une touche de réglisse rouge, de vanille et de chêne. Bouche : Épices à et réglisse rouge. Aussi chêne et vanille. Globalement très sucré, à la limite du whisky avec une infusion de jus de fruits chimiques. Finale : Relativement courte et sèche.

Martin 90%
Nez: Ça commence vachement bien. Cannelle, muscade. Seigle, seigle, seigle. un tout petit peu de vanille se cache derriere le tout. Si vous affectionnez les rye en général, vous resterez longtemps le nez collé dans ce verre. Bouche: L’entrée en bouche est particulièrement douce, pour ensuite se métamorphoser en épices d’une force très affirmée. Une petit bout de toast de seigle avec fruits et épices. Finale: S’épuise trop rapidement. Pourtant le départ était si prometteur. Après chaque gorgée j’oublie que c’est un whisky. Équilibre: Bien que formidable au départ, l’equilibre souffre de par sa courte et presque insipide finale. Mais c’est en prenant un autre qu’on oublie rapidement ce défaut. Comme le dit le bon vieux proverbe russe: “La vérité est au fond du verre”.

RV 68%
À quelque part entre une expérience canadien dégénérée et un rye avec un penchant gin. Le nez est donc rempli de genièvre, un très mauvais départ à mon avis. En bouche, même chose, accompagné de menthe, alors on espère quelque chose de potable pour la finale. Qui n’est point meilleur, alors que l’aftertaste est un peu plus abordable avec du grain aigre. À l’aveugle, un Canadian Club Green Stag disons.

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