Bowmore 12 ans (nouvel embouteillage)

40% alc./vol.
Cette version de Bowmore, moyennement tourbée et florale, a été applaudie par les plus grands experts pour son équilibre et sa complexité, notamment Dave Broom et Michael Jackson.

André 82%
Je suis détruit… Ca goûte pas le Bowmore tel que je l’ai connu ! Le sel et le smoky n’ont plus l’ampleur de la version précédente. La tourbe s’est passablement adoucie et il est beaucoup plus sucré que l’ancienne version, ce qui lui l’a en grande partie amputé de son caractère d’Islay. Les notes salines, fumées et tourbées y sont toujours mais la tempête s’est passablement apaisée et l’ensemble a perdu de son caractère distinctif. Ceci dit, il reste un bon embouteillage à un prix plus que décent. Mais d’abaisser (entre autre) le taux d’alcool de 3%/volume le dépouillera aussi de quelques anciens adeptes qui n’apprécieront pas d’avoir modifié le sacro-saint-style de la distillerie. Bad move.

RV 85%
Peat jeune et vert, fumée. Bowmore straight up, sans surprise ni défaut.

Patrick 88%
Fumée, tourbe au nez. Au goût, fumée, tourbe, encre!!! Unique, on reconnaît bien le nouveau style de Bowmore. Peat jeune. L’un des meilleurs rapport qualité/prix à la SAQ.

Martin 84.5%
Nez: Dès que le Bowmore 12 est versé, la table au complet respire la tourbe. Le bonheur de la tourbe. L’orge et le coeur de l’Islay. Un peu citron-limette, une touche de phénol salé. Explosion de vanille à la seconde visite. Bouche: Sa douceur nous prend par surprise. Iode, vanille, hôpital, agrumes, diachylon, fumée. Finale: Douce et gracieuse fumée. Impression curieusement agréable de chêne, de fruits des champs, de brin de scie et de colle à bois. Oui, j’ai bien dit agréable. Équilibre: Un excellent choix pour une première approche des whiskies de l’Islay. À peine vingt dollars de plus qu’un McClelland’s, bonifié d’une richesse remarquable. Encore une des bonnes aubaines de la SAQ. De surcroît, pour les chochottes il est aussi disponible en 350 ml pour le prix d’un bon vieux Jameson…

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